Pour réaliser une sculpture de grandes dimensions, je stratifie plusieurs couches de tissu de verre (ici du mat300) que nous imprégnons de résine polyester au pinceau.
C’est long, fastidieux et fatiguant, mais le faire à la main est plus précis que de pulvériser la « choucroute » à la machine.
De cette façon, la sculpture est assez fine et légère mais extrêmement solide, comme la coque d’un canoë kayak.